Il était une fois une femme et son garçon. Ils s’occupaient des animaux et du blé qu’ils récoltaient pour en faire de la farine.
Ils l’utilisaient pour le vendre mais aussi pour faire un gâteau qui s’appelait Banitsa.
Un jour la maman demanda à son garçon d’aller à la cave pour y chercher de la farine pour faire une Banitsa. Le garçon alla dans la cave et lorsqu’il sortit avec un plat de farine, le vent souffla très fort et toute la faine s’envola.
Le garçon retourna dans la cave pour chercher de la farine et lorsqu’il revint dans la cour le vent souffla à nouveau très fort te une fois encore la farine s’envola.
Le garçon cria « Ca suffit, c’en est trop !! » Il jeta le plat et se mit à courir après le vent. Il voulait chasser le vent, il courra, courra après le vent….
Il rencontra alors un homme sans chapeau qui lui demanda « Pourquoi cours-tu comme ça ? ». Le garçon répondit « Je chasse le vent, il m’a volé ma farine, il doit me la rendre, je vais l’attraper ! ». L’homme dit « Mais tu es fou ? Le vent a emporté mon chapeau de fourrure et pourtant je ne le chasse pas !! ». « J’attraperais le vent ! » cria le garçon qui repartit en courant.
Le jour suivant, il rencontra un homme qui cultivait des fruits, il lui demanda : « Pourquoi cours-tu comme ça ? ». Le garçon répondit « Je chasse le vent, il m’a volé ma farine, il doit me la rendre, je vais l’attraper ! ». L’homme dit : « Mais tu es fou ? Le vent a emporté tant d’arbres et de fruits et pourtant je ne le chasse pas ! ». « J’attraperais le vent ! » cria le garçon qui repartit en courant
Le jour suivant il rencontra un matelot avec un sac sur les épaules qui lui demanda : « Pourquoi cours-tu comme ça ? ». Le garçon répondit « Je chasse le vent, il m’a volé ma farine, il doit me la rendre, je vais l’attraper ! ». L’homme dit : « Mais tu es fou ? Le vent est fort, il a fait couler notre bateau et pourtant je ne le chasse pas ! ». « J’attraperais le vent ! » cria le garçon qui repartit en courant.
Finalement, le garçon finit par trouver le vent. « Hey, le vent ! Rends-moi ma farine ! ». « Quelle farine ? » répondit le vent. « La farine qui s’est envolée lorsque tu as soufflé si fort, je te chasse pour cela depuis trois jours ! » Le vent rit et dit « C’est bien tu fais attention à tes affaires et peu de gens ont le courage d’affronter le vent ! Je ne peux pas te rendre la farine, mais je te donne ce mouchoir, fais-y attention. Etends-le et dit « Mouchoir donne-moi à manger » et il te donnera tous les plats que tu souhaiteras
Le garçon prit le mouchoir, salua le vent et pour vérifier ce que disait le vent, il étendit le mouchoir et dit « Mouchoir donne-moi une Banitsa et un Ayran.» Aussitôt apparurent les plats qu’ils avaient demandés dans une assiette et un verre dorés. Il mangea à sa faim et reprit le chemin de la maison.
La troisième nuit il trouva une auberge où il décida de passer la nuit. Il s’assit à une table, étendit le mouchoir et dit « Mouchoir donne moi à manger. » Aussitôt apparut un repas dans une assiette dorée.
Les patrons de l’auberge étaient très étonnés de ce qu’ils avaient vu. La femme dit « Je n’ai jamais vu de mouchoir pareil ! Où peut-on en acheter ? ». « C’est le vent qui me la donné » répondit le garçon. La femme dit « C’est un bon cadeau, même l’homme le plus riche aimerait l’avoir ! »
Le garçon mangea son repas et alla se coucher. Dans la nuit, la femme dit à l’homme : « Si nous avions ce mouchoir, nous serions riches et sans avoir besoin de travailler ! ». Quand le garçon s’endormit, la femme et l’homme entrèrent dans sa chambre pour lui voler le mouchoir et le remplacèrent par un autre.
Le matin, le garçon rentra chez lui et appela sa maman : « Maman, regarde quel drôle de mouchoir j’apporte. Le vent me l’a donné car la farine s’est envolée. Tu n’auras plus besoin de cuisiner. » Il étendit le mouchoir dit « Mouchoir donne-moi à manger », mais rien ne se produisit.
Le garçon prit le mouchoir et retourna voir le vent. « Voici ton mouchoir, rends-moi ma farine, il ne donne pas de la nourriture ! ». « Pourquoi ne donne-t-il plus de nourriture ? » demande le vent. « Je ne sais pas » dit le garçon. Le vent savait ce qui s’était passé et dit « Prends ce coq, et quand tu lui diras « chante petit coq », des pièces d’or sortiront de son bec.
Le garçon prit le coq et rejoint la même auberge pour y dormir. Avant de commander à manger, il posa le coq sur la table et dit « Chante petit coq ». Le coq chanta et des pièces d’or roulèrent de son bec. Le garçon prit l’argent et paya son repas. Quand il eut finit de manger, il paya son repas et alla se coucher.
Dans la nuit lorsque le garçon dormait, la femme et l’homme entrèrent dans la chambre et changèrent le coq par un autre.
Le matin lorsqu’il le montra à sa maman et qu’il dit « Chante petit coq », celui-ci ne fit rien.
Une fois de plus le garçon retourna chez le vent ; « Voici ton coq, il ne donne plus de pièces d’or, rends-moi ma farine !». « Bon, dit le vent, la femme et l’homme t’ont pris le mouchoir et le coq. Voici un bâton, lorsque tu lui diras « Bâton, frappe » il frappera jusqu’à ce que tu lui dises « Bâton, arrête ! ».
Le garçon dormit dans la même auberge. La femme et l’homme pensèrent que le bâton était magique et voulaient le voler. Mais quand ils s’approchèrent du lit, le garçon cria « Bâton, frappe ». Le bâton frappa, frappa et frappa encore l’homme et la femme. L’homme cria « Attends mon garçon je te rends ton mouchoir ! » et la femme cria « je t’apporte de suite ton coq ! ». Le garçon dit « Bâton, arrête. » Le bâton arrêta. Le garçon récupéra son mouchoir et son coq.
Il rentra aussitôt à la maison, il appela sa maman « Cette fois tu verras le vrai mouchoir et le vrai coq ! » Il étendit le mouchoir et dit « donne moi une Banitsa et un Ayran. » Il posa le coq à côté et dit « Chante petit coq ». Les repas apparurent et les pièces d’or tombèrent du bec du coq. La maman était heureuse et fière de son fils très courageux. Ils vécurent heureux et chanceux.
Ils l’utilisaient pour le vendre mais aussi pour faire un gâteau qui s’appelait Banitsa.
Un jour la maman demanda à son garçon d’aller à la cave pour y chercher de la farine pour faire une Banitsa. Le garçon alla dans la cave et lorsqu’il sortit avec un plat de farine, le vent souffla très fort et toute la faine s’envola.
Le garçon retourna dans la cave pour chercher de la farine et lorsqu’il revint dans la cour le vent souffla à nouveau très fort te une fois encore la farine s’envola.
Le garçon cria « Ca suffit, c’en est trop !! » Il jeta le plat et se mit à courir après le vent. Il voulait chasser le vent, il courra, courra après le vent….
Il rencontra alors un homme sans chapeau qui lui demanda « Pourquoi cours-tu comme ça ? ». Le garçon répondit « Je chasse le vent, il m’a volé ma farine, il doit me la rendre, je vais l’attraper ! ». L’homme dit « Mais tu es fou ? Le vent a emporté mon chapeau de fourrure et pourtant je ne le chasse pas !! ». « J’attraperais le vent ! » cria le garçon qui repartit en courant.
Le jour suivant, il rencontra un homme qui cultivait des fruits, il lui demanda : « Pourquoi cours-tu comme ça ? ». Le garçon répondit « Je chasse le vent, il m’a volé ma farine, il doit me la rendre, je vais l’attraper ! ». L’homme dit : « Mais tu es fou ? Le vent a emporté tant d’arbres et de fruits et pourtant je ne le chasse pas ! ». « J’attraperais le vent ! » cria le garçon qui repartit en courant
Le jour suivant il rencontra un matelot avec un sac sur les épaules qui lui demanda : « Pourquoi cours-tu comme ça ? ». Le garçon répondit « Je chasse le vent, il m’a volé ma farine, il doit me la rendre, je vais l’attraper ! ». L’homme dit : « Mais tu es fou ? Le vent est fort, il a fait couler notre bateau et pourtant je ne le chasse pas ! ». « J’attraperais le vent ! » cria le garçon qui repartit en courant.
Finalement, le garçon finit par trouver le vent. « Hey, le vent ! Rends-moi ma farine ! ». « Quelle farine ? » répondit le vent. « La farine qui s’est envolée lorsque tu as soufflé si fort, je te chasse pour cela depuis trois jours ! » Le vent rit et dit « C’est bien tu fais attention à tes affaires et peu de gens ont le courage d’affronter le vent ! Je ne peux pas te rendre la farine, mais je te donne ce mouchoir, fais-y attention. Etends-le et dit « Mouchoir donne-moi à manger » et il te donnera tous les plats que tu souhaiteras
Le garçon prit le mouchoir, salua le vent et pour vérifier ce que disait le vent, il étendit le mouchoir et dit « Mouchoir donne-moi une Banitsa et un Ayran.» Aussitôt apparurent les plats qu’ils avaient demandés dans une assiette et un verre dorés. Il mangea à sa faim et reprit le chemin de la maison.
La troisième nuit il trouva une auberge où il décida de passer la nuit. Il s’assit à une table, étendit le mouchoir et dit « Mouchoir donne moi à manger. » Aussitôt apparut un repas dans une assiette dorée.
Les patrons de l’auberge étaient très étonnés de ce qu’ils avaient vu. La femme dit « Je n’ai jamais vu de mouchoir pareil ! Où peut-on en acheter ? ». « C’est le vent qui me la donné » répondit le garçon. La femme dit « C’est un bon cadeau, même l’homme le plus riche aimerait l’avoir ! »
Le garçon mangea son repas et alla se coucher. Dans la nuit, la femme dit à l’homme : « Si nous avions ce mouchoir, nous serions riches et sans avoir besoin de travailler ! ». Quand le garçon s’endormit, la femme et l’homme entrèrent dans sa chambre pour lui voler le mouchoir et le remplacèrent par un autre.
Le matin, le garçon rentra chez lui et appela sa maman : « Maman, regarde quel drôle de mouchoir j’apporte. Le vent me l’a donné car la farine s’est envolée. Tu n’auras plus besoin de cuisiner. » Il étendit le mouchoir dit « Mouchoir donne-moi à manger », mais rien ne se produisit.
Le garçon prit le mouchoir et retourna voir le vent. « Voici ton mouchoir, rends-moi ma farine, il ne donne pas de la nourriture ! ». « Pourquoi ne donne-t-il plus de nourriture ? » demande le vent. « Je ne sais pas » dit le garçon. Le vent savait ce qui s’était passé et dit « Prends ce coq, et quand tu lui diras « chante petit coq », des pièces d’or sortiront de son bec.
Le garçon prit le coq et rejoint la même auberge pour y dormir. Avant de commander à manger, il posa le coq sur la table et dit « Chante petit coq ». Le coq chanta et des pièces d’or roulèrent de son bec. Le garçon prit l’argent et paya son repas. Quand il eut finit de manger, il paya son repas et alla se coucher.
Dans la nuit lorsque le garçon dormait, la femme et l’homme entrèrent dans la chambre et changèrent le coq par un autre.
Le matin lorsqu’il le montra à sa maman et qu’il dit « Chante petit coq », celui-ci ne fit rien.
Une fois de plus le garçon retourna chez le vent ; « Voici ton coq, il ne donne plus de pièces d’or, rends-moi ma farine !». « Bon, dit le vent, la femme et l’homme t’ont pris le mouchoir et le coq. Voici un bâton, lorsque tu lui diras « Bâton, frappe » il frappera jusqu’à ce que tu lui dises « Bâton, arrête ! ».
Le garçon dormit dans la même auberge. La femme et l’homme pensèrent que le bâton était magique et voulaient le voler. Mais quand ils s’approchèrent du lit, le garçon cria « Bâton, frappe ». Le bâton frappa, frappa et frappa encore l’homme et la femme. L’homme cria « Attends mon garçon je te rends ton mouchoir ! » et la femme cria « je t’apporte de suite ton coq ! ». Le garçon dit « Bâton, arrête. » Le bâton arrêta. Le garçon récupéra son mouchoir et son coq.
Il rentra aussitôt à la maison, il appela sa maman « Cette fois tu verras le vrai mouchoir et le vrai coq ! » Il étendit le mouchoir et dit « donne moi une Banitsa et un Ayran. » Il posa le coq à côté et dit « Chante petit coq ». Les repas apparurent et les pièces d’or tombèrent du bec du coq. La maman était heureuse et fière de son fils très courageux. Ils vécurent heureux et chanceux.